Something potentially quite important happened in Paris last
night, which so far as I can tell has not been reported by any
American source (though it appears in a couple of English-language Russian
ones). A sort of “Blue Lives Matter” demonstration, held by saying
they have had it was the increasing tempo of extremely violent (and often
unpunished) attacks against les forces de
l’ordre. The demonstators began at the hospital where one of their number,
badly burned from a Molotov cocktail launched by a mob of djeunes in the banlieue, was hanging ente la vie et la mort. They then circled the Arc de Triomphe
in their squad cars, sirens blaring -- and (thanks to a new counter-terror law
that allows officers to retain their weapons while off-duty) fully armed.
The demo was set up by officers without the backing of
their own (housebroken) union, beginning with this message on social media:
Face à une hiérarchie carriériste,
des élites syndicales enlisées dans leurs conflits, et une justice complètement
désintéressée par notre sort, nous devons nous souder. Entre bleus.
This all might subside or (goaded by increasingly brazen attacks on them in the banlieues) it could develop rapidly, in a way that might catch the bien-pensant press with their pants down, reduced to a headline “French Government Falls in Coup”, which Americans will not have seen coming. Check these out:
Trump and his supporters are late to the parade. For some years now, Europe has been the
crucible in which the Clash of Civilizations has been fought.
[Update 19 October 2016] Ça continue:
«Ras le bol ! » |
[Update 20 October 2016] Ça continue encore:
Plusieurs centaines de policiers se
sont réunis au Trocadero, en face de la tour Eiffel . Ils se sont dirigés ensuite
vers les Champs-Elysées, en appelant les passants ou les habitants à venir les
rejoindre.
«Cazeneuve t'es foutu, la police la
police est dans la rue», scandaient les manifestants à l'adresse du ministre de
l'Intérieur, ainsi que «Falcone démission» à l'adresse de Jean-Marc Falcone, le
directeur de la police nationale.
En civil, certains portant un
brassard ou un foulard masquant en partie leur visage, certains brandissaient
des pancartes sur lesquelles on pouvait notamment lire: «Marre d'en prendre
plein la gueule», «Ras le bol» ou encore «Soutien à nos collègues blessés».
Un petit nombre de personnes, munis
d'affiches réclamant «la vérité» pour des proches victimes selon eux de
violences policières, a rapidement été écarté par les forces de l'ordre.
[Update 23 October 2016] The nightly demonstrations by fed-up police continue, in
Paris and in provincial cities.
These have been peaceful -- unlike the anti-cop counterdemonstrators:
La manifestation, interdite par le
préfet de la Loire, a pourtant bien eu lieu. Et a laissé des traces dans la
ville. Samedi après-midi, le défilé d’un collectif pour « le désarmement de
la police et la démilitarisation des conflits » s’est soldé par de
nombreuses dégradations à Saint Etienne.
Des abribus, des distributeurs de
banque, la vitrine d’une agence bancaire et le local de la fédération
départementale du Parti socialiste ont notamment été saccagés. Devant la Bourse
du travail, plusieurs prises de parole ont d’abord eu lieu pour « dénoncer
les répressions policières sous toutes leurs formes et la guerre coloniale
menée par la France au Moyen-Orient ».
[Update 4 November 2016] Now a few firemen are joining in:
Quelque 500 policiers et personnes
les soutenant se sont rassemblés vendredi soir devant le commissariat de
Béziers et la sous-préfecture, environ 200 devant la mairie d'Avignon, une
centaine au Mans, et 700 à Lyon.
A Béziers, les policiers municipaux
ont été rejoints par des policiers nationaux des commissariats de Béziers et
d'Agde, par des pompiers, des habitants de Béziers, par deux magistrats et par
une dizaine d'avocats. Ils ont scandé "Policiers en colère" et
"La racaille en prison", et portaient des pancartes "J'aime ma
police".
A Avignon, les manifestants ont
entonné La Marseillaise devant l'hôtel de ville, sur la place de l'Horloge, et
les agents, qui étaient deux fois plus nombreux que vendredi dernier, ont été
applaudis par une dizaine de pompiers qui avaient pris part au rassemblement.
Notably, just as with the Manif pour tous, Marine Le Pen is among the abonnés absents,
providing neither leadership nor even support. She arrived at her present position by an accident of
family ties (which she later severed);
perhaps she is not up to the task.
[Update 13 Nov 2016] German police, cowed into masochism by their politically-correct masters, also have cause for complaint. Here, in North Rhine-Westphalia, an attempt to write a parking ticket caused an attack by a clan of Turks, that injured ten cops, sending one to the hospital. They felt no qualms about attacking police, including the backups, knowing that the police would not defend themselves with force. Most German news sources don't mention the ethnicity of the attackers; here, in a radical break with its past P.C. practice, Die Welt does:
https://www.welt.de/vermischtes/article159455674/Gewaltexzess-nach-Streit-ueber-falsch-geparktes-Auto.html
This sort of anti-police (anti-everyone, actually) "clan" attack, has become commoner in Germany, typically involving Turks or Lebanese.
[Update 13 Nov 2016] German police, cowed into masochism by their politically-correct masters, also have cause for complaint. Here, in North Rhine-Westphalia, an attempt to write a parking ticket caused an attack by a clan of Turks, that injured ten cops, sending one to the hospital. They felt no qualms about attacking police, including the backups, knowing that the police would not defend themselves with force. Most German news sources don't mention the ethnicity of the attackers; here, in a radical break with its past P.C. practice, Die Welt does:
https://www.welt.de/vermischtes/article159455674/Gewaltexzess-nach-Streit-ueber-falsch-geparktes-Auto.html
This sort of anti-police (anti-everyone, actually) "clan" attack, has become commoner in Germany, typically involving Turks or Lebanese.
[Update 22 February 2017] Here is a sample of the things French cops have to put up
with:
L’embuscade se met en place aux
alentours de 19 heures. En patrouille à bord de leur véhicule de service, les
policiers municipaux circulent dans la Grande rue, qui, malgré son nom, est en
fait une étroite voie sinueuse qui débouche en face du marché couvert.
Subitement, un piéton assène des coups de pied sur la portière de leur voiture.
Le policier au volant descend pour demander des comptes. Dès qu’il a posé le
pied par terre, une bande d’une quinzaine de personnes surgit d’une ruelle
adjacente.
Les agents expérimentés, l’un d’eux
étant notamment un ancien militaire, se défendent pendant huit minutes, avant
l’arrivée de renforts. «Je salue leur maîtrise. Ils n’ont même pas sorti leurs tonfas face à des agresseurs à mains
nues, assure Eric Mehlhorn. La légitime défense, c’est répondre à la hauteur de
l’attaque. Ils ont fait preuve de courage.»
http://www.leparisien.fr/savigny-sur-orge-91600/deux-policiers-municipaux-lynches-dans-un-guet-apens-a-savigny-sur-orge-22-02-2017-6701223.php
You might wonder why the two beaten policemen did not fire
on their attackers. Well, they
couldn’t: they’re not allowed to
bear arms. All they had were
little tonfas -- and these they didn’t even use. Their role, under the Socialos, is to lie there
quietly and get stomped on. And
stomped on. And stomped on.
[Update, May Day 2017] This is what policemen in Paris have to put up with:
Their response? Nothing harsher than tear-gas.
[Update 14 juillet 2017]
[Update, May Day 2017] This is what policemen in Paris have to put up with:
Flic rôti à la mode de Taubira
|
Their response? Nothing harsher than tear-gas.
[Update 14 juillet 2017]
Even as Bastille-day festivities
bathed the Champs-Elysées, the racaille of the banlieue were setting
items on fire, hoarding projectiles, and laying an ambush for the police who
responded to the provocations.
But this time, one policement, being beaten by multiple assailants, actually dared to fire back:
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