Wir haben vorher über Lüsternheit und Philosophie geschrieben: nicht notwendigerweise beim Philosophen selbst (wenngleich, in diesem Fall, vielleicht
auch doch) sonder in der Weise, in der die Journalistin ihre Beute angreift.
Jetzt aber handelt es sich tatsächlich um einen geilen φιλόσοφος, den Geheimrat C. McGinn; siehe da.
(Franchement ne voudrais-je
traiter de ce drôle de sujet urbi et orbi
devant les bégueules amerloques, plutôt les bafouer; donc pour la suite, si cela
vous parle, vaut-il mieux ne point cliquer ici, ni ici, c’est pas
la peine, mais là où l’on vous a (d’une façon quelque peu sybilline, et dont
vous m’excuserez le ténébreux, ce n’est que pour déjouer les traducteurs
googleux) indiqué, ci-dessus.)
(Non mais non mais, il est
astucieux ce truc-là, ce googlophone plurilingue, pas moyen de le dévier à part
entière, ma foi ce qu’elle est maligne cette bête, va donc, zut alors, eh ben
chuis à plat, bibi, et vous autres minus
habentes, cliquettez donc ICI et ICI et HERE pour ne
rien trouver du tout.)
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